dimanche 7 avril 2013

Une mare au collège Mistral

Cette année les élèves ont mis en place une mini mare.
Au programme analyse et observation de l'eau.





mercredi 11 avril 2012

Expériences sur l'eau et les graines


Voici les comptes rendus d'expériences faites sur la germination de graines en fonction des arrosages avec différentes eaux. Quelle est l'influence de l'eau sur la germination ? Certains composants ralentissent ils le pourrissement de l'eau ? Bien d'autres questions sont en cours et ces quelques essais donneront peut être quelques hypothèses ...

Compte rendu global (pdf)


mercredi 15 février 2012

Le club change de nom

En 2011 le club participait au projet "De l'espace pour la mer " en coopération avec les élèves d'un lycée de Hambourg.
(Aperçu des activité en 2011 : clubs)

Cette année l'orientation du partenariat avec l'IRD concerne "Les zones humides".

Au programme : caractérisations et comparaisons de différentes zones humides, la venue d'un chercheur, des visites de zones humides, des expériences etc.
Tout cela devrait contribuer à faire découvrir aux élèves du club certains aspects de la recherche et de la démarche scientifique.
De nouveaux articles devraient suivre et rendre compte de nos activités.

lundi 21 juin 2010

Le glider : qu'est ce que c'est ?

Quelques réponses aux questions que se sont posées les élèves du club de St Martin de Crau.
Nous remercions Alexis Chaigneau de l'IRD ainsi que Pierre Testor (CNRS-LOCEAN) et Laurent Bèguery (Division technique de l'INSU/CNRS) pour leur participation à cette interview.


jeudi 15 avril 2010

Interview de Véronique Loisel

Les élèves, encadrés par leur professeure documentaliste Mme Magnien, ont réalisé une interview de la navigatrice qui est au centre du projet "de l'espace pour la mer".

VERONIQUE LOISEL : UNE NAVIGATRICE PASSIONNEE ET PASSIONNANTE
Véronique Loisel est ingénieur chez Arianespace*. Elle participe au projet « De l’espace pour la Mer » avec le CNES, l’Ifremer et l’IRD. En 2007, elle a déjà réalisé une course transatlantique*, dans le cadre du programme « Argonautica ». Au cours de cette course ont été jeté des balises Argos dont les signaux étaient transmis à des élèves dans des écoles en Essonne. Grâce à ces données, ils ont travaillé sur les sciences et les océans.
Elle a accepté de répondre aux questions de notre club sciences :


1) Quel âge avez-vous ?

36 ans mais en Avril je vais en avoir 37 !

2) Comment avez-vous débuté chez Arianespace ?

Quand j’étais petite, mon souhait était de devenir pilote de ligne, mon rêve d'être un jour astronaute. J'ai finalement suivi des études d'ingénieur à l'ESIEE (Ecole supérieure d'ingénieurs en électronique et électrotechnique) à Marne-la-Vallée, pour plus de polyvalence. Je suis sortie de l'école à l’époque du 100e lancement d'Ariane (intervenu en septembre 1997), et puis je suis tombée à trois reprises sur la même offre d'emploi pour un poste d'ingénieur dans le monde du spatial, alors que je commençais à chercher du travail… J'ai bondi sur l’occasion, et j’ai eu la chance d’être embauchée chez Arianespace juste après le 2ème lancement d'Ariane 5 (la fusée européenne, mais dans le jargon professionnel, on dit « le lanceur européen »).
Le premier poste dont on m’a chargée était très opérationnel puisque sur le lanceur Ariane 4, j’étais chargée du contrôle des chaînes de guidage en Guyane. Plus tard, j’ai acquis une bi-compétence Ariane 4 / Ariane 5 puis je me suis occupée des aspects électriques de la partie "haute" du lanceur (gestion des interfaces électriques entre le lanceur et les charges utiles) avant de devenir l’adjoint du COEL, le chef d’organisation des ensembles de lancement.

3) En quoi consiste votre métier actuel ?

Il y a 2 ans maintenant, j’ai quitté non sans nostalgie la Guyane et j’ai pris un nouveau virage en rejoignant la direction commerciale d’Arianespace comme Chef de projet satellites. Un chef de projet est l’interlocuteur privilégié de clients satellite d’Arianespace, et répartit l’ensemble de tâches qui contribuent à démontrer la faisabilité technique, programmatique, contractuelle et financière du lancement ainsi qu’à sa préparation. Aujourd’hui je suis en charge de 4 projets satellites, pour des lancements qui interviendront dans les années qui viennent (2010-2012).

4) Pouvez-vous nous expliquer votre rôle dans le projet « De l’espace pour la Mer » ?

Je me suis associée à l'opération « De l’espace pour la mer » du CNES en 2006. Cette opération pédagogique d’envergure a été développée en Essonne à l’aide du CG91 et de la mairie d’Evry. Elle a permis à 500 jeunes Essonniens de suivre la course, et leur a donné la possibilité de jongler avec des données acquises par deux balises Argos larguées en mer et de les comparer avec des données de satellites océanographiques.
J'ai acheté par la suite un nouveau bateau, Cupuaçu (du nom d'un arbre guyanais et du fruit dont j’adore le jus lacté) C’est un prototype en carbone bien plus performant qu'Oyapock. Avec lui, je poursuis l'expérience sportive et développe avec l’IRD, l’IFREMER et le CNES le projet pédagogique pour cette saison de courses… Ca va être géant ! Affaire à suivre !

5) A quel âge avez-vous navigué pour la première fois ?

5 ans je crois

6) Comment expliquez-vous votre passion pour les océans ?

Mon goût pour la mer, je ne l’ai pas inventé. Le souvenir de mes ancêtres, dont nombre étaient capitaines au long-court et sillonnaient les océans du globe, a baigné mon enfance de récits d’aventure. A Saint-Briac-sur-Mer, près de Saint-Malo, les activités nautiques enfant puis mes premières régates en solitaires avec le bateau de mes parents ont eu raison de moi. Etudiante, j'ai évidemment énormément participé aux activités du club de voile de l'école.

7) Pouvez-vous nous raconter votre course transat 6.50 ?

Traverser l’océan sur une coque de noix de 6,50 mètres, sans assistance aucune et bien sûr, en solitaire, m'a paru être un truc de dingue, mais j'en ai eu aussitôt extrêmement envie ! L’envie s’est subitement transformée en besoin et tout est alors allé très vite : j'ai racheté mon bateau à un ancien coureur fin 2005 (Mini 6,50 que j’ai baptisé Oyapock, du nom du fleuve séparant la Guyane du Brésil. Bien sûr, il a fallu affronter l’inconnu et surmonter ses peurs au fur et à mesure des qualifications à la transat 6,50 de 2007 (entre La Rochelle et Salvador de Baia). A l’arrivée et après 29 jours de navigation en solitaire, une 18e place parmi une cinquantaine de voiliers de série dont une belle première étape à Madère (10ème).

8) Comment arrivez-vous à trouver le temps pour naviguer en plus de votre métier ?

Lorsque je me suis vraiment décidée à rentrer à fond dans ce projet, je me suis dit : « Dis-donc cocotte, ton métier dans les étoiles, il est fichtrement intéressant…. Ça serait bien dommage de le laisser tomber ! » Et de l’autre côté, je me suis dit « Quel dommage ce serait si je décidais d’abandonner cette envie furieuse de traverser l’Atlantique… parce que je suis pieds et poings liés avec le travail qu’il faut assurer chaque jour ! ». Le dilemme était grand…je peux vous le dire…
J’ai donc étudié le pour et le contre, comment pouvoir suivre des entraînements dédiés le we tout en travaillant la semaine, comment prendre le temps malgré tout de préparer mon bateau, de chercher des sous, de m’assurer que tel équipement va arriver à l’heure, de consulter la météo, de revoir les procédures … il y a une liste importante, alors je ne vais pas tout vous détailler.
L’important, dans tout ca, c’est de mettre des priorités et de prendre son pied ! C’est aussi simple que ca.
Bien entendu, tout cela c’est de la théorie, parce que, le stress, c’est bien qu’il y en ait un petit peu ! Sinon on serait tout mou en permanence… Mais il faut qu’il soit mesuré et pour cela il faut avant tout s’organiser.
Dans mon travail, j’ai organisé avec le service des ressources humaines l’ensemble de mes jours de congés dans l’année. Chaque jour est prévu et j’essaie de jongler entre mes missions à l’étranger et mes entrainements et mes courses.
Parfois c’est tout de même un peu difficile alors il faut faire un peu de concessions…
Par exemple, en fin de semaine prochaine, je pars 3 semaines en Guyane pour préparer le lancement d’un satellite dont je me suis occupée pendant 2 ans Je suis contrainte de prendre l’avion le dimanche donc je ne pourrai pas m’entrainer en bateau c’est certain. Difficile d’être dans les airs et sur la mer en même temps !... ET puis, on ne va quand même pas retarder le lancement du satellite pour faire plaisir à mademoiselle tout de même !!


*Arianespace : a été créée en 1980 et c'est la première société de lancement satellites au monde.
*Transatlantique: traversée de l'Atlantique en bateau.

Pour en savoir plus :

http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/6129-ide-lespace-pour-la-meri-a-la-veille-du-grand-depart-.php
http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/5925-argonautica-va-traverser-latlantique.php
le blog de Véronique Loisel : www.veroniqueloisel.blogspot.com

Le club sciences du collège Mistral au Grau du Roi

Au programme visite du Seaquarium (poissons méditerranéens, tropicaux, requins, otaries, lions de mer ...) et plus particulièrement du centre de soin des tortues méditerranéennes (Cestmed). Organisée dans le cadre de "Martigues fait son odyssée" cette sortie faisait suite à des conférences données au collège sur ce milieu fascinant et fragile et ses habitants particuliers que sont les tortues. Un prolongement aura certainement lieu au mois de juin avec la remise en liberté d'une tortue.

mercredi 24 mars 2010

Exposés et articles d'élèves

Une participation très active des élèves:
- au collège Rieu deux exposés : les insectes (par Aurélien B.) et les dinosaures (par Alexandre D.)
- au collège Mistral un article sur le club : cliquer sur le club vu par les élèves